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Économie

"Philanthropie" dynastique

4. Mai 2016
Christian Campiche
George Soros intervient dans toutes les affaires européennes, voire mondiales.

Sans lui, le scandale Panama n’aurait peut-être pas éclaté: l’une de ses fondations finance le consortium de journalistes à l’origine de l’affaire.

Soros a mis son grain de sel dans la crise des réfugiés, les événements en Ukraine, la dette grecque et l’euro. La chute de la Bourse chinoise est attribuée à ses déclarations tonitruantes sur l’état de l’économie de la deuxième puissance mondiale. Pour Soros, la solution existe, elle consiste pour la finance chinoise à s’affranchir de la tutelle de l’Etat.

Nul n’est forcé de croire Soros, alias Gyorgy Schwarz, le nom qu’il portait à sa naissance. Mais il faut reconnaître un certain panache au financier new-yorkais, disciple de Popper, né à Budapest en 1930. La chance sourit aux audacieux, c’est particulièrement vrai dans le cas de Soros qui doit sa fortune considérable à des coups spéculatifs. L’attaque contre la livre sterling, en 1992, ce fut lui. Celle contre l’une ou l’autre monnaie asiatique en 1997 aussi.

Parallèlement, l’homme a perdu plusieurs paris, il aurait pu se retrouver sur la paille. Au final, il conserve des milliards, ce qui témoigne de son habileté tactique. En 2008, son porte-monnaie s’est ouvert devant Barack Obama, ce qui ne l’a pas empêché d’investir beaucoup d’argent dans les actions du pétrolier Halliburton, proche du clan Bush.

Ses hagiographes qualifient Soros de philanthrope messianique. Etonnante époque qui attribue ce rôle gratifiant à ceux qui ont les moyens d’acheter le destin des autres. Il faut dire que l’intéressé ne fait rien pour démentir sa réputation. Sous ses airs impavides, Soros cache une estime de soi qu’il semble avoir transmise à sa descendance. Sur internet, ses cinq enfants sont présentés comme des philanthropes.

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